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Le Lévrier Afghan est l'une des plus anciennes races de chiens au monde, avec une histoire remontant à plus de 4000 ans.

Le Bouvier Australien a été développé en croisant des Dingos sauvages avec des chiens de berger importés.

Le Rhodesian Ridgeback tire son nom de la crête de poils qui pousse dans le sens inverse le long de son dos.

Le Phalène et le Papillon sont en fait la même race, seule la position des oreilles diffère.

Cette race peut littéralement rougir quand elle est excitée ou heureuse, son nez et ses oreilles devenant plus roses.

Le Berger Picard a failli disparaître après les deux guerres mondiales et reste une race rare aujourd'hui.

L'Épagneul Picard est l'une des plus anciennes races d'épagneuls français, mentionnée dans des textes dès le 16ème siècle.

Cette race existe depuis plus de 2000 ans et apparaît dans de nombreuses œuvres d'art de la Renaissance italienne.

Le Pinscher est considéré comme l'une des races ancestrales qui a contribué au développement du Dobermann.

Le Plott est la seule race de chien courant originaire des États-Unis qui ne descend pas des chiens de chasse anglais.

Le nom 'Affenpinscher' dérive de l’allemand 'Affe', qui signifie 'singe'.

Il est également connu sous le nom de 'Chien de l'Atlas'.

Il est considéré comme le plus grand représentant de la famille des Terriers.

On pense que son nom vient du mot turc 'ak' qui signifie 'blanc'.

La statue du célèbre Akita 'Hachikō' se trouve près de la gare de Shibuya, à Tokyo.

Le terme 'Inu' signifie simplement 'chien' en japonais.

Le nom de la race vient de la rivière Alapaha en Géorgie.

Contrairement au Siberian Husky, l’Alaskan Husky peut présenter une grande variété de morphologies et de pelages.

Développé dans les années 1970 par Linda Spurlin.

Le nom vient de la tribu des Mahlemiut, autochtones de l’Alaska.

Il est souvent appelé 'Dachsbracke des Alpes' dans son pays d’origine.

La distinction entre l’American Akita et l’Akita Inu japonais est relativement récente.

Descend de Bulldogs anglais amenés en Amérique du Nord à l’époque coloniale.

Descend du Cocker Spaniel anglais importé en Amérique au 19ème siècle.

Connu aussi sous les noms de 'Redtick Coonhound' ou 'English Coonhound'.

Bien que nommé 'Eskimo', il n’est pas originaire des régions arctiques.

L’une des premières races canines développées dans les colonies américaines.

Officiellement reconnu comme race distincte dans les années 2000.

Descend des Bulldogs et Terriers anglais importés en Amérique.

Partage des origines similaires avec l’American Pit Bull Terrier.

Également appelé 'Amertoy' dans certains registres.

Créé pour chasser dans les marécages et rivières du Midwest américain.

Utilisé depuis des siècles pour protéger les troupeaux dans les montagnes turques.

Son nom reflète son ascendance anglaise (Anglo) et française (Français).

Fait partie des quatre races de Sennenhund suisses (avec le Bernois, l’Entlebuch et le Grand Bouvier Suisse).

Comme les autres Sennenhund, il est réputé pour sa force et sa robustesse.

Développé à partir d’anciens chiens courants français, comme le Bleu de Gascogne.

Descend probablement des vieux Braques français du Midi.

Peut être confondu avec d’autres chiens courants français comme le Gascon Saintongeois.

Descendrait d’anciennes lignées de chiens courants médiévaux.

Certains Kelpies sont capables de courir sur le dos des moutons pour les guider.

Ils ont souvent les yeux vairons (couleurs différentes) ou bleus.

Parfois confondu avec le Yorkshire Terrier, dont il est proche parent.

Sa queue écourtée est d’origine génétique et non toujours le fruit d’une coupe.

Il est considéré comme le premier terrier entièrement développé en Australie.

Historique ancré dans la tradition de la chasse en montagne.

Race ancienne, jadis commune dans les fermes autrichiennes pour éliminer les nuisibles.

Il se distingue par une robe mouchetée caractéristique, souvent dite 'ciseleuse'.

Capable de supporter la chaleur extrême du Sahel grâce à sa silhouette élancée.

Développé à partir de divers mâtins et dogues amenés sur les îles.

On le confond parfois avec l’Austrian Black and Tan Hound, à qui il est apparenté.

Le nom 'Barbet' vient du mot 'barbe', allusion à sa barbe fournie.

Il est souvent décrit comme le 'chien qui n’aboie pas'.

Descend des lignées de chiens courants de l’Artois et de Normandie.

Sa 'robe bleue' est due à un mélange de poils blancs et noirs.

Descend du Grand Fauve de Bretagne, aujourd’hui disparu.

Connu pour ses yeux tristes et ses oreilles extrêmement longues.

Issu du croisement de Bracken alpines et d’autres lignées de chiens de chasse.

Littéralement 'chien de sueur de montagne bavarois', en référence à la trace de sang.

Utilisé comme chien détecteur de contrebande dans certains aéroports, grâce à son nez affûté.

Il est moins courant que le Beagle ou le Harrier pris séparément.

L’épaisse fourrure protège le chien du climat humide et froid des Highlands.

Il possède parfois un double ergot sur les pattes arrière, caractéristique des bergers français.

Son look d’agneau est trompeur: il est musclé et tenace.

Le nom 'Schipperke' signifie 'petit berger' en flamand, bien que la race ne garde pas de troupeaux.

Autrefois, il chassait les rats dans les écuries bruxelloises.

Très prisé par les forces de l’ordre et l’armée pour sa polyvalence.

La variété Groenendael tire son nom d’un château en Belgique où elle fut développée.

Leurs différences portent essentiellement sur la longueur, la texture et la couleur du pelage.

Le nom Tervuren vient d’une commune près de Bruxelles, où la variété fut développée.

Son pelage feutré est naturellement formé de trois types de poils qui s'emmêlent.

Longtemps considéré comme une simple variété blanche du Berger allemand.

Napoléon aurait apprécié cette race pour sa bravoure au troupeau.

Historiquement utilisé pour tirer des chariots de lait et garder le bétail.

Fait partie des variétés de 'Schweizer Laufhunde' (Chiens courants suisses).

Le terme 'Niederlaufhund' se réfère à un chien courant de petite taille ('nieder' = bas).

Parfois confondu avec le Tibetan Mastiff, dont il est distinct par sa morphologie.

Surnommé 'Bichon à poil frisé' dans certains registres francophones.

Descend probablement de petits Bichons venus d’Espagne et d’Italie, puis adaptés à Cuba.

Non reconnu par les grands clubs de race, car c’est un croisement intentionnel récent.

La variété tricolore a été stabilisée par un couple d’éleveurs allemands, Werner et Gertrud Biewer.

Le nom 'Billy' vient du château de Billy, où la race fut développée.

Le surnom est parfois donné à des Dobermans, des Bergers belges noirs ou d’autres chiens foncés au tempérament protecteur.

Souvent confondu avec d’autres lignées allemandes comme le Deutsche Bracke ou le Tiroler Bracke.

Aussi appelé 'Sort Elghund' en norvégien.

Également surnommé 'La Perle Noire de Russie'.

L’un des rares chiens de chasse créés en Amérique.

L’une des plus anciennes lignées de chiens courants français, réputée depuis le Moyen Âge.

Utilisé depuis le Moyen Âge pour la recherche de personnes ou la chasse au grand gibier.

Particulièrement apprécié pour la chasse au sanglier et au chevreuil.

Très bon nageur, il excelle pour la chasse au canard.

Il est réputé pour sa remarquable endurance et sa persévérance en chasse nocturne.

Historiquement tondu en même temps que les moutons pour récupérer sa laine.

Le mot 'Boerboel' signifie 'chien de ferme' en afrikaans (Boer = fermier, boel = chien).

Créé par le cynologue tchèque František Horák dans les années 1940.

Très apprécié par la noblesse italienne et européenne aux siècles passés.

Il est souvent cité comme la race de chien la plus intelligente.

À l’origine, il accompagnait les Foxhounds pour déloger les renards de leurs terriers.

Également connu sous le nom de 'Russian Wolfhound'.

Son nom signifie littéralement 'chien courant bosnien à poil dur'.

Élevé depuis des siècles dans les régions montagneuses des Balkans.

Ce n’est pas une race distincte, mais un synonyme du Barak.

Le premier chien non sportif des États-Unis à avoir obtenu la reconnaissance de l’AKC.

Issu de petits Bulldogs anglais amenés en France au 19e siècle.

Mentionné dans des ouvrages cynégétiques dès le 16e siècle.

Longtemps menacé d’extinction, la race a été sauvegardée par quelques passionnés.

Utilisé au cours de la Première Guerre mondiale comme chien ambulancier et messager.

Historiquement utilisé comme chien de chasse au grand gibier, puis comme chien de garde.

Race officielle de l’État de Caroline du Sud.

Apparu dans des écrits cynégétiques dès la Renaissance italienne.

Issue d’anciennes lignées de braques du sud-ouest de la France.

Partage beaucoup de caractéristiques avec le type Gascogne, mais en version plus compacte.

Historiquement développé dans le chenil royal de Saint-Germain-en-Laye.

Parfois surnommé le 'Fox Paulistinha' au Brésil.

Le terme 'Briquet' signifie 'de taille moyenne' en ancien français cynégétique.

Peut naître avec une queue courte ou sans queue (anoure).

A failli disparaître après la Seconde Guerre mondiale, sauvé par des éleveurs danois.

Fait partie des 'Schweizer Laufhunde' (chiens courants suisses) avec l’Appenzell, le Bernois et le Lucernois.

Non reconnu par la FCI ni par l’AKC, étant un 'designer dog'.

La variété 'Miniature Bull Terrier' est reconnue séparément.

Symbole national non officiel de l’Angleterre.

Surnommé le 'Guardian Gamekeeper’s Night Dog' pour son rôle historique.

Le mot 'Bestiar' se réfère au bétail, soulignant sa fonction de chien de berger.

Son nom signifie littéralement 'Chien de taureau' en catalan (ca de bou).

Le fameux chien 'Toto' du Magicien d’Oz était un Cairn Terrier.

Reconnu comme le chien national d’Israël.

Considéré comme l’une des plus anciennes races nordiques, développée par les Inuits.

Est de la même famille que d’autres podencos ibériques, comme l’Ibizan Hound.

Son nom provient du latin 'cohors', signifiant protecteur ou gardien.

Sa robe blanche permet aux bergers de le distinguer des loups la nuit.

Considéré comme l’une des races les plus intelligentes, réputé pour le cirque et l’obéissance.

L’une des plus anciennes races portugaises, fièrement préservée par les bergers locaux.

Surnommé parfois 'Chien singe' en raison de sa frange sur la tête et son visage expressif.

Prisé pour son habileté à plonger et nager dans des eaux agitées.

Peu connu en dehors du Portugal, c’est un protecteur naturel des pâturages montagnards.

Considéré comme plus ancien que le Pembroke Welsh Corgi.

Découvert dans des zones marécageuses, survivant en meute.

Apparaît souvent dans les Pyrénées catalanes pour la protection des moutons.

Également appelé 'Catahoula Cur' ou 'Louisiana Catahoula'.

Utilisé par l'Armée soviétique pour la garde des prisons ou des bases militaires.

Nommé en hommage au roi Charles II, grand amateur de cette race.

Également appelé 'Alabai' ou 'Tobet' selon les régions.

Initialement développé pour des missions militaires et de garde des frontières.

L’une des plus anciennes races de chiens d’arrêt en Bohême.

Descend vraisemblablement des lévriers asiatiques amenés en Europe de l’Est.

Parfois mentionné dans des récits locaux de régions fromagères (Suisse, France, etc.).

Descend de chiens naufragés sur les côtes du Maryland au début du 19e siècle.

Peut présenter une fontanelle non fermée (molera), vestige de son passé précolombien.

Malgré son nom, ses origines exactes demeurent débattues (Afrique ou Asie).

Historiquement, ses rides le protégeaient en combat : l’adversaire ne pouvait saisir que la peau.

Considérée comme l’une des races les plus rares au monde.

Certains pensent qu’il est l’ancêtre des spitz nordiques et du Keeshond.

Seule race canine officiellement reconnue comme originaire d’Uruguay.

Également appelé 'Carpatin' ou 'Carpathian Sheepdog'.

Plus lourd et plus grand que ses cousins carpatins ou mioritiques.

Son nom 'Mioritic' vient d’une région pastorale roumaine et signifie 'relatif au mouton'.

Descend possiblement de chiens rapportés de l’Égypte antique par les Phéniciens.

Son nom vient du domaine de Clumber Park, propriété du duc de Newcastle.

Diffère de l’American Cocker Spaniel par une tête moins ronde et un museau plus long.

Apparu dans les années 1960, l’un des premiers 'designer dogs' populaires.

Le succès de la série 'Lassie' a popularisé la race en Amérique dès les années 1950.

Populaire dans les salons du 19e siècle, mais tombé en désuétude à l’ère moderne.

Le 'Coton' désigne la texture de son poil, unique parmi les races de bichons.

Rarement mentionné dans la littérature cynologique officielle.

Officiellement reconnu par la FCI sous le nom 'Montenegrin Mountain Hound'.

Race ancienne, probablement documentée depuis le 14e siècle.

Anciennement menacé, il a été préservé par des éleveurs corses dévoués.

Probablement issu de croisements entre le 'Old English Water Spaniel' et le Retriever.

Le terme 'Dachshund' signifie 'chien blaireau' (dachs = blaireau, hund = chien).

Également connu pour son rôle comme mascotte des pompiers aux États-Unis.

Nommé d’après un personnage de roman de Walter Scott ('Guy Mannering').

Souvent confondu avec le Fox Terrier, dont il se distingue par une construction plus légère.

Considéré comme le 'Royal Dog of Scotland', réservé à la noblesse pour la chasse au cerf.

Souvent abrégé en GWP (German Wirehaired Pointer) dans les pays anglophones.

Très populaire comme chien de chasse en Europe et en Amérique.

L’une des plus anciennes lignées de chiens d’arrêt en Allemagne, avec des ancêtres datant du Moyen Âge.

Longtemps cantonnée aux régions boisées d’Allemagne centrale.

Surnommée 'l’Apollon des chiens' en raison de sa stature élégante.

L’une des races canines les plus populaires et utilisées au monde.

Tous les spitz allemands partagent le même standard de base, seuls la taille et la couleur diffèrent.

Son nom 'Wachtelhund' signifie littéralement 'chien de caille' en allemand.

Apprécié pour sa crinière qui lui donne une apparence de lion.

Créé par Karl Friedrich Louis Dobermann, collecteur d’impôts qui voulait un chien protecteur.

Issu de croisements de plusieurs races (Cordoba Fighting Dog, Mastiff, Bull Terrier, etc.).

Son nom 'Presa' fait référence à sa capacité de 'prise' sur le bétail ou les intrus.

Figurait dans le film 'Turner and Hooch' (Hooch étant un Dogue de Bordeaux).

Son pelage blanc tacheté de marron est similaire à celui de l’Épagneul français.

Connu autrefois sous le nom de 'Svensk Drever' ou 'Swedish Drever'.

Issu de croisements entre divers chiens courants français et britanniques au 16e siècle.

Connu pour sa fameuse posture de pointing, l’une des plus 'pures' parmi les chiens d’arrêt.

Apparu au 16e siècle à partir de divers Spaniels et chiens d’arrêt continentaux.

La variété 'Field Trial' peut être plus légère et plus nerveuse que la variété 'show'.

Appelé 'King Charles Spaniel' dans l’AKC, ce qui peut prêter à confusion avec le Cavalier.

Auparavant nommé 'Miniature Black and Tan Terrier.'

Excellente aptitude à tourner autour du bétail et à pincer les jarrets pour faire avancer.

Dénommé 'Eurasier' pour symboliser le lien entre l’Europe (le Wolfsspitz) et l’Asie (le Chow-Chow).

Souvent considéré comme le 'spaniel oublié', en raison de sa rareté historiquement.

Son attachement à la famille est légendaire au Brésil, où l’on dit 'fiel como um Fila' (fidèle comme un Fila).

Sa robustesse lui permet de chasser par temps froid et sur neige.

Traditionnellement utilisé pour guider les rennes dans le Grand Nord.

Son aboiement spécifique, évoluant en 'trille', permet de fixer l’oiseau dans l’arbre.

Apprécié pour sa versatilité en compétition (obéissance, agility) et comme chien de famille.

Chien semi-sauvage pendant des siècles, façonné par l’environnement montagneux de Taïwan.

Souvent confondu avec le Wire Fox Terrier, dont seul le pelage diffère réellement.

Très populaire dans les années 1930, vedette de nombreuses expositions.

Fait partie d’un trio de races 'Français' : Blanc et Noir, Blanc et Orange, et Tricolore.

Fait partie des trois grands courants 'Français' (Blanc et Noir, Blanc et Orange, Tricolore).

Comme les autres 'Français', il descend de lignées royales et seigneuries de chiens courants.

Descend de lévriers introduits par les Phéniciens et les Maures, adaptés au terrain espagnol.

Apparu au 18e siècle grâce à des lignées locales croisées avec des chiens de type pointer.

Issue d’une volonté de sauvegarder la race Saintongeois en l’hybridant avec le Bleu de Gascogne.

Descend probablement de grands chiens de ferme, croisés avec des Schnauzers moyens.

Plus discret que les autres terriers irlandais (Kerry Blue, Irish Terrier, etc.).

Souvent utilisé comme chien-guide, chien d’assistance ou chien de recherche.

Créé dans les années 1990, suite au succès du Labradoodle.

Nommé d’après le duc d’Gordon, qui en fit l’élevage au 18e siècle.

La variété la plus ancienne et la plus grande parmi les Griffons Vendéens (Petit, Briquet, Basset, Grand).

Fait partie des trois variétés 'Grand Anglo-Français' (Tricolore, Blanc et Noir, Blanc et Orange).

Partage des ancêtres avec le Foxhound anglais et plusieurs races de vénerie françaises.

Moins répandu que le Tricolore ou le Blanc et Noir, mais tout aussi performant à la chasse.

Appelé 'Patou' dans la culture pastorale pyrénéenne.

Considéré comme l’ancêtre commun des autres bouviers suisses, avec le Bernois, l’Appenzeller, et l’Entlebucher.

Appelé aussi 'Ellinikos Poimenikos' dans son pays d’origine.

L’une des plus anciennes lignées de chiens de traîneau en Arctique, préservée par les Inuits.

Peut atteindre 70 km/h en vitesse de pointe, ce qui en fait l’un des mammifères terrestres les plus rapides.

L’une des rares races canines grecques officiellement reconnues par la FCI.

Enraciné dans la tradition médiévale allemande, il aurait failli disparaître avant d’être réhabilité au 20e siècle.

Issu de croisements entre divers chiens d’arrêt et chiens de rapport à poil dur.

Issu d’anciennes lignées de chiens fauves de l’Ouest français, presque disparues après les guerres.

Descend probablement des 'Chiens Gris de Saint-Louis' du Moyen Âge.

Nom dérivé du dialecte romagnol 'Càn Lagòt,' signifiant 'chien d’eau.'

Ressemble à d’autres terriers britanniques comme le Welsh Terrier ou l’Airedale, mais en plus petit.

Utilisé pour mordiller les jarrets des vaches, afin de les faire avancer (d’où 'Heeler').

Nommé en hommage au peintre Sir Edwin Landseer, célèbre pour ses tableaux de chiens noirs et blancs.

Auparavant confondu avec le Finnish Lapphund, dont il se distingue notamment par la silhouette et la coloration.

Historiquement, les Langhaars noirs et blancs étaient exclus du Deutsch Langhaar standard, aboutissant à cette nouvelle variété.

Créé à l’origine par Heinrich Essig comme 'chien symbole' de la ville de Leonberg.

Considéré comme un porte-bonheur dans la culture tibétaine.

Littéralement 'petit lion' en allemand, en référence à sa coupe de toilettage historique.

Créé en croisant le Sealyham Terrier et le Norfolk Terrier, notamment.

Fait partie des quatre Laufhunde suisses (Bernois, Lucernois, Schwyzois, Argovien).

Les Lurchers étaient prisés des braconniers pour leur discrétion et leur vitesse.

Connu en Hongrie depuis des siècles, associé à l’aristocratie magyare.

Apparaît dans de nombreuses peintures de la Renaissance et dans la cour française.

Historique de compétitions de 'rat-killing' où il excellait grâce à sa rapidité.

Peut dépasser les 100 kg et 80 cm au garrot, classé parmi les chiens les plus lourds.

Utilisé depuis le Moyen Âge pour la Mesta, grande transhumance espagnole.

Diffère légèrement du Mastín Español par une ossature parfois plus élancée et un pelage plus long.

Nommé d’après Xolotl, dieu aztèque, et 'itzcuintli' signifiant 'chien'.

Reconnu comme race distincte par l’AKC en 2015.

Initialement développé pour les petites proies et comme chien de compagnie actif.

On l’appelle parfois 'Zwergpinscher' en allemand, signifiant 'Pinscher nain.'

Le plus répandu des Schnauzers, très populaire comme chien de famille en zone urbaine.

Le terme 'Cur' désigne souvent un chien de type rustique ou multi-usage, sans standard strict.

Né probablement d’un brassage entre chiens de berger locaux et spitz.

Descend possiblement du 'Molosse du Tibet' via les légions romaines.

Mentionné dans des tableaux de Rembrandt ou Jan Steen, symbole de la chasse aux canards.

Ses dreadlocks pèsent lourd une fois mouillées, nécessitant un temps de séchage prolongé.

Leur courage face aux ours en a fait un auxiliaire de chasse privilégié pour les grands gibiers.

L’une des six races spitz japonaises, reconnues comme trésor national.

La teinte bleue n’apparaît parfois pleinement qu’après 12-18 mois.

Le nom 'Keeshond' dérive de 'Kees,' un diminutif commun en néerlandais.

Le mot 'Kuvasz' viendrait d’un terme turc signifiant 'protecteur' ou 'gardien.'

Ce sont les seuls chiens connus à posséder naturellement six doigts fonctionnels par patte.

Se distingue par ses marques blanches sur le poitrail et l’extrémité de la queue.

Appelé 'Papillon' en raison de ses oreilles rappelant des ailes déployées.

Descend probablement du croisement entre des chiens français/allemands aux oreilles droites et le Puli local.

Race très rare qui a failli disparaître dans les années 1960, sauvée par quelques éleveurs passionnés.

Autrefois confondu avec le Norwich Terrier, la séparation en deux races date de 1964 (oreilles tombantes = Norfolk).

La chasse à la loutre fut interdite en Angleterre en 1978, causant un fort déclin de la race.

Appelé 'Parson' en hommage à son créateur, le révérend John Russell ('Jack' Russell).

Nom dérivé du village de Patterdale, dans le Lake District.

Vénéré sous la dynastie Tang, il ne pouvait être possédé que par des membres de la cour impériale.

Chien favori de la reine Élisabeth II, qui en posséda de nombreux exemplaires.

Également nommé 'Viringo,' 'Chien nu péruvien,' ou 'Perro Chimú' selon les régions.

Malgré son nom 'Petit,' ce n’est pas un basset, mais simplement plus petit que le Grand Bleu de Gascogne.

Mentionné dans des documents cynégétiques croates dès le 14e siècle.

Probablement apparenté à des bergers asiatiques amenés par des invasions ou des échanges commerciaux.

Le Podengo Pequeno (petit) est surtout utilisé pour la chasse au lapin en terrains rocailleux.

Créé par le baron von Zedlitz en 1881 pour combiner les qualités de flaireur du Pointer et l’intelligence du Caniche.

Historique compagnon des bergers pyrénéens, travaillant parfois avec le 'Patou' (Chien de Montagne des Pyrénées) pour la garde.

Parfois surnommé 'Rottweiler Metzgerhund' (chien de boucher de Rottweil).

Créé initialement pour obtenir un chien-guide robuste, mais le tempérament lupin s’est révélé peu adapté.

Le légendaire Barry, un Saint-Bernard, aurait sauvé plus de 40 vies au 19e siècle.

Associé à l’aristocratie bédouine, parfois tenu en estime quasi sacrée.

Son sourire caractéristique est dû à la forme de ses lèvres, évitant les engelures en climat polaire.

Appelé aussi 'Yugoslavian Shepherd Dog–Sharplanina' dans la classification FCI.

Nommé 'Toonie dog' localement, 'toon' signifiant 'ferme' en vieux norrois.

Déclaré Monument naturel au Japon, protégé depuis les années 1930.

Signifie 'chien-lion' en mandarin, en référence à son apparence.

Importé en Alaska au début du 20e siècle pour les courses de chiens de traîneau (All-Alaska Sweepstakes).

Également appelé 'Tatransky Cuvac' dans certaines classifications.

Apprécié par les peuples nomades pour la chasse au lièvre, au renard et parfois à la gazelle.

Partage la même classification que le Rough Collie, seule la longueur du poil diffère.

Appelé 'Youzhak' (Южак) ou 'Ovcharka' dans certaines régions.

Autrefois nommé 'Spinoso' (épineux) pour décrire son pelage rude.

Souvent nommé 'Stabij' en dialecte frison, signifiant 'rester près de vous.'

Malgré ses origines de combats de chiens, il est réputé pour son amour des humains.

Parmi les plus rares spaniels anglais, il a failli disparaître après la Seconde Guerre mondiale.

L’une des trois races connues présentant une crête dorsale (avec le Rhodesian Ridgeback et le Phu Quoc Ridgeback).

Nommé 'Seng Kyi' (chien-lion) en tibétain, partage des ancêtres avec le Lhasa Apso et le Shih Tzu.

Son élevage a été influencé par le Sumo canin au Japon, cherchant force et endurance.

Plus ancien que l’English Springer Spaniel, avec des racines possiblement médiévales.

Considéré comme l’un des plus vieux terriers existants, mentionné depuis le 15e siècle.

Créé pour mieux repérer le chien blanc dans les fourrés, évitant de le confondre avec la proie.

Souvent élevé aux côtés du Stabyhoun, autre race frisonne.

Surnommé le 'lévrier du pauvre,' car moins cher à élever que le Greyhound.

Né de croisements entre le Vizsla à poil ras et le German Wirehaired Pointer, notamment.

Maintenu par les peuples yakoutes pour la navigation sur glace et la protection contre les prédateurs.

Peut arborer un nœud sur la tête pour dégager ses yeux.

Signifie 'petit renard italien,' en référence à sa silhouette et son museau pointu.

Les peuples indigènes de Sibérie l’ont historiquement utilisé pour la chasse et la traction légère.

Parfois surnommé 'WSL' dans les cercles cynégétiques internationaux.

Fréquemment confondu avec l’American Eskimo Dog ou le Spitz nain, dont il se distingue par la sélection japonaise.

Fait partie des six races canines indigènes du Japon, reconnues comme trésor national.

Parfois appelé 'Kochi-ken,' en référence à la préfecture de Kochi où il est réputé.

Nommé 'Ainu Ken' car historiquement élevé par le peuple Ainu d’Hokkaido.

Créé à partir de chiens courants allemands, anglais et suédois adaptés au climat norvégien.

Reconnu comme l’une des plus anciennes lignées de chiens courants des Balkans.

Nommé d’après la ville de Tenterfield, en Nouvelle-Galles du Sud, où il fut popularisé.

Dérive des chiens de chasse du Kentucky, popularisés par John W. Walker.

Surnommé le 'fantôme gris' pour sa robe argentée et sa démarche silencieuse.

Autrefois confondu avec le Norfolk Terrier, la distinction se fait principalement sur les oreilles.

Le plus rare des quatre Bergers belges, souvent méconnu hors d’Europe.

Également nommé 'Owczarek Podhalanski,' signifiant 'berger des montagnes polonaises.'

Parfois surnommé 'Whiptail' en raison de sa queue nue et effilée.

Le nom vient de la région de 'Krom Fohr' en Siegen, où la race fut développée.

Mentionné dans des textes de la Renaissance, ayant contribué à former d’autres races d’épagneuls.

Très apprécié à l’époque victorienne, figurant dans la noblesse et les salons.

Également nommé 'Ohar polovnícky hrubosrstý' en slovaque.

Anciennement surnommé 'Swedish Foxhound,' tout en étant plus polyvalent (lièvre et renard).

Souvent utilisé en conjonction avec le Sloughhi (le chien) pour garder et chasser autour des troupeaux.

Des talers ont été créés en traversant des dingos avec des chiens d'élevage britanniques.

Parfois appelé le «Bas Rouge» (bas rouge) en raison des marques de bronzage sur les jambes.

L'une des nombreuses races de type Bichon, dont le bolognais et les maltais.

«Brandlbracke» signifie littéralement «chien marqué par le feu» en allemand, faisant référence aux points de bronzage.

Parfois aussi appelé Braque de l’Ariège ou Braque Ariégeois.

Comprend différents noms de manteau / variété: Griffon Bruxellois, Griffon Belge, Petit Brabançon.

L'une des races les plus anciennes du Portugal, associées à un terrain montagneux.

Parfois surnommé le «chien de singe» au Portugal, faisant référence à son visage vivant.

Parfois soigné dans un «clip de lion» (arrière rasé, avant complet).

Également connu sous le nom de «Guardian de bétail portugais» ou «Cão de Vila».

Tenté à l'origine de combiner l'entraînement du GSD avec l'endurance du loup.

Développé par l'éleveur tchèque František Horák dans les années 40-50.

Moins commun à l'international que la variété à revêtement à long terme.

Également appelé «Berger des Pyrénées à Poil Long», reconnu par le FCI.

Introduit au Japon probablement de la Chine ou de la Corée il y a des siècles.

L'orthographe peut varier: Coban Kopegi, çoban Köpeği, etc.

Les différences tournent autour de l'ensemble d'oreille: Papillon (oreilles up), phalène (oreilles vers le bas).

Les «Mutts» ou «Mongrels» sont des synonymes pour les chiens randonnés avec une ascendance inconnue ou mixte.

Élevé de Fox Terrier et divers terriers de chasse en noir et brun après la Première Guerre mondiale.

Reconnu comme une race de fondation pour le Pinscher miniature et le Doberman Pinscher.

Développé dans les années 1930 pour combiner le lecteur de Vizsla avec une couche de fil protectrice.

Connu pour un «œil en verre» caractéristique du gène Merle.

Nom «Schapendoes» signifie «chouton-berger» dans le dialecte néerlandais.

L'un des meilleurs chiens de travail polyvalents, similaires au berger belge dans le corps et les tâches.

Parfois confondu avec les Griffons belges, mais le Smoushond a une forme de corps et une couleur de pelage distincts.

Utilisé dans les configurations «Eendenkooi» où ils agitent leur queue touffue pour fasciner les canards.

Souvent distingué de l'épannage du cocker américain par un museau plus long et moins de crâne en forme de dôme.

L'une des six races coonhound reconnues aux États-Unis.

L'un des premiers groupes de terrier standardisés, reconnus depuis la fin du 19e siècle.

Une des trois variétés de chien «Français»: Blanc et Noir, Blanc et Orange et Tricolore.

Parfois également connu sous le nom de «chien du roi» dans des contextes historiques.

Complète le trio «Français»: Blanc et Noir, Blanc et Orange, Tricolore.

L'une des deux principales lignes «Braque Français», l'autre étant des «pyrénées de type» (plus petites).

Distinct du type Gascogne par une taille plus petite et un cadre plus léger.

Parmi les plus anciens chiens d'eau connus d'Europe, peut-être antérieurs au caniche.

Nom dérivé de «Sta Me Bij» (Stand By Me) en dialecte néerlandais.

Nom «Wetterhoun» signifie «chien d'eau» dans le dialecte frisien.

Bénéficiaire du XVIIIe siècle, peut-être des chiens de pointage espagnols.

L'un des Gundogs les plus populaires dans le monde pour son adaptabilité.

Dérivé des pointeurs espagnols, des chiens et des lignes de pointeur allemandes locales.

Aux Pays-Bas, il s’appelle «Keeshond», vénéré comme symbole de la faction patriote au XVIIIe siècle.

«Basset» signifie ici «Low-Set», mais le Grand est plus grand que la version Petit.

Probablement le plus ancien des chiens de montagne suisse, avec un héritage romain Mastiff.

Des rôles similaires à d'autres races de gardien des Balkans comme le Sarplaninac ou le berger karstique.

Les spécificités de couleur et de manteau séparent le «Griffon Belge» des «Bruxellois» ou «Petit Brabançon».

Nommé pour le Château de Groenendael, près de Bruxelles, où il a été raffiné.

L'une des races de chiens arctiques les plus anciennes, façonnées par les communautés inuits pendant des siècles.

Split des lignes Deutsch Langhaar en raison des restrictions de couleur du manteau noir.

Les principaux clubs de chenil ont souvent un «groupe sportif» ou un «groupe Gundog».

L'une des trois principales lignes de parfum norvégiennes, aux côtés de Dunker et Hygenhund.

Développé en traversant les chiens norvégiens locaux avec des races à parfum étrangère dans les années 1800.

Parfois appelé historiquement le «Foxhound du pauvre».

Également appelé «Ellinikos Poimenikos» en grec, reconnu localement.

Parfois confondu avec le Mastiff tibétain ou les lignes de garde de l'Himalaya.

Parfois appelé Erdélyi Kopó ou Copoi dans les langues locales.

Le nom peut provenir du turc «Kavasz», ce qui signifie garde ou protecteur.

Souvent confondue avec un «chien de vadrouille», similaire au plus grand komondor mais de plus petite taille.

Parfois appelé «berger Barky» en raison d'une vigilance et d'une réactivité élevées.

Connu pour une personnalité distinctement collante ou «velcro» avec sa famille.

Étroitement liés à d'autres chiens méditerranéens comme le Cirneco dell’etna (Sicile) et le chien pharaon (Malte).

Cru descendre de Norwegian Buhund ou de chiens nordiques similaires nordiques apportés par les Vikings.

Presque éteint au 19e siècle, relancé par quelques éleveurs irlandais dévoués.

Développé à partir du secteur irlandais rouge et blanc et autres lignes locales pour une couleur rouge solide.

Surnommé le «Daredevil» dans les références historiques du tempérament fougueux.

L'une des références les plus anciennes provient de 391 après JC, appréciée par des chefs celtiques.

Parfois orthographié íslenskur færhundur ou variations dans les textes plus anciens.

L'une des plus anciennes lignes de chiens croates, reconnue par le FCI.

«Oštrodlaki» signifie «aux cheveux métalliques» en croate.

«Corso» peut dériver de «Cohors» (latin pour «protecteur» ou «tuteur»).

Les œuvres d'art du 14ème siècle représentent des chiens ressemblant au bracco moderne.

Les peintures de l'ère de Michel-Ange représentent un petit Spitz blanc ressemblant au Volpino.

Célèbre en tant que chien télévisé / cinéma (par exemple «Milo» dans le masque).

Officiellement reconnu comme une race séparée de l'Elkhound norvégien uniquement en 1946.

Hachikō, le célèbre Akita, est un symbole de loyauté au Japon.

Probablement introduit au Japon en provenance de Chine ou en Corée il y a plus de mille ans.

«Shiba» peut signifier «Brushwood» en japonais, faisant référence au terrain qu'ils chassaient à l'origine.

Parfois aussi appelé «Mikado Terrier» historiquement.

Situé à la fin du XIXe siècle, l'ère de la ruée vers l'or dans la région de Bushveld.

Créé par le Dr John Arbuthnot;Popularisé par des caricaturistes comme James Gillray.

Historiquement, appelé le chien de berger illyrian avant que la Yougoslavie ne mette à jour la nomenclature.

Les niederlaufhunde suisses existent en tant que versions plus petites de la Laufhunde d'origine, pour des chasses plus lentes.

L'une des rares lignes Nihon Ken a désigné un monument naturel au Japon.

Accepté par certains registres comme le chien national de la Turquie.

«Karhu» signifie «ours» en finnois, faisant référence à son objectif initial.

Historiquement connu sous le nom de «berger illyrian» avant les changements de classification, distincts du sarplaninac.

Parmi les gardiens de bétail les plus importants et les plus forts, historiquement utilisés dans l'Armée rouge soviétique.

Développé dans les années 1990, en partie à partir de grandes lignées de berger allemands avec une perfusion de Malamute ou de Pyrénées.

La loi coréenne restreint l'exportation de jindos purs pour préserver l'héritage de la race.

Historiquement considéré comme la même chose que les lignes de berger illyrienne, reconnue plus tard distinctement.

Nommez «Kyi» du mot tibétain pour chien, «Leo» du latin pour Lion, référençant le surnom de «Lion Dog» de Lhasa Apso.

Nommé d'après le Château de Laeken, où il a soi-disant gardé les troupeaux.

Parfois utilisé comme chiens de détection ou compagnons sportifs.

A engendré la popularité des mélanges «doodle» comme Goldendoodles, Ausiedoodles, etc.

Souvent utilisé comme chiens de guidage, de recherche et de sauvetage ou de canines de détection.

«Niederlaufhund» signifie «chien à faible course», faisant référence à ses jambes plus courtes.

De plus en plus favorisé par les forces de l'ordre dans le monde en raison de la dynamisme et de l'athlétisme élevés.

Également appelé «Perro de Presa Mallorquin» ou simplement «CA de Bou» (catalan pour «taureau»).

Parfois orthographié «Malshi» ou «Mal Shi» dans le marketing.

Utilisé historiquement à La Mesta, où d'énormes troupeaux errent des basses terres aux pâturages de Sierra élevés.

Dérivé de la lignée de Manchester Terrier, utilisé dans les concours victoriens des rats.

Certaines sculptures et écrits représentent ces chiens comme de grands gardiens à court-fil.

Affenpinscher en allemand fusionne littéralement «affen» (singe / singe) avec «Pinscher».

Parfois confondu avec le chien de berger de la plaine polonais (PON) en raison d'une apparence similaire.

Souvent comparé génétiquement au dingo australien et à d'autres anciens chiens paria.

Élevé principalement pour une voix forte (les «chiens de tête» utilisent généralement une technique de stale oculaire, mais les Huntaways aboient).

Distingué de Landseer (type continental européen), bien que les motifs de couleur se chevauchent.

Descentes des terriers de renard européens amenés au Japon il y a des siècles.

«Nippon» et «Nihon» sont tous deux des omméraires faisant référence au Japon.

Les chiens Spitz partagent généralement des traits de loup: oreilles droites, têtes en forme de coin, manteaux denses.

Élevé pour maintenir le tempérament et les capacités de l'Aussie, mais pour les propriétaires qui préféraient une taille plus petite.

«BU» signifie Homestead ou Farm en norvégien;«Hund» signifie chien.

L'une des races nationales de Norvège, utilisées par les Vikings pour chasser le grand gibier.